Avant-propos

7/11/2018 | Accueil | 0 commentaires

AVANT-PROPOS

Est-il possible de réduire au silence, seulement par l’alimentation, des maladies incurables ? OUI.

  • Lesquelles ?
  • Environ une centaine de pathologies qualifiées de dégénératives, de maladies auto-immunes, de maladies de « civilisation ».

Parmi les plus connues du public on peut citer : la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, la sclérose en plaques, l’arthrose, la fibromyalgie, le diabète sucré de type 2, la colite, la maladie de Crohn, la gastrite, l’acné, l’eczéma constitutionnel, le psoriasis, l’urticaire, l’asthme, le rhume des foins, la bronchite chronique, la rhinite chronique, les aphtes, les migraines, etc. Soit plus de 30 millions de cas par an, en France, en 2011 (50% de la population française). Il s’agit de rémission de ces maladies mais jamais de guérison. Reprendre ses habitudes alimentaires réactive la maladie en quelques jours à peine. En médecine, on appelle cela « un test de provocation orale », utilisé, par exemple, pour tester chez l’enfant l’intolérance au lactose.

  • Quel pourcentage de réussite dans ces maladies ?
  • 80 à 100 %, sans effets secondaires.

Les rémissions complètes sont largement plus nombreuses que les rémissions partielles. Il y a des échecs (comme en médecine), mais ils sont peu de choses au regard des réussites.

  • Est-ce mystérieux ?
  • NON.
  • Y-a-t-il des bases scientifiques ?
  • OUI.

Pourquoi la médecine n’en parle-t-elle jamais ?  A cause d’une maladie incurable dont elle est elle-même atteinte : la dissonance cognitive. On peut la définir dans ce contexte de la façon suivante : « La rectification des idées acquises est difficilement supportable. Cela empêche l’acceptation d’idées nouvelles pour lesquelles on ne possède pas encore de l’expérience ». On peut résumer ce comportement maladif par trois attitudes : le refus de croire, le refus d’apprendre et la certitude que ces idées sont fausses.

Néanmoins il existe des médecins qui ont décidé de suivre une formation sérieuse en Diététique et en Nutrithérapie (Compléments alimentaires). Ils sont actuellement peu nombreux. Ceux qui abordent la diététique sans gluten, ni laitage (exposée dans ce livre) sont très rares. Finalement il y a une lueur d’espoir pour de nombreux patients.

Le Professeur Claude Bernard (1813-1878), Père de la médecine expérimentale déclara : « Quand le fait qu’on rencontre est en opposition avec une théorie soutenue par les plus grands noms de la médecine, ces mêmes médecins doivent avoir l’humilité d’accepter le fait et d’abandonner la théorie qui est généralement adoptée par tous ».

Dans le même esprit le Professeur Luc Montagnier écrit : « la recherche médicale ne progressera qu’en puisant dans toutes les avancées de la science comme dans les connaissances acquises empiriquement, trop souvent méprisées. Elle ne nous sauvera que si elle retrouve sa vocation originelle, loin des intérêts économiques, plus près de la sagesse d’Hippocrate et de sa règle première : Primum non nocere… D’abord ne pas nuire ! » (Les combats de la vie – Mieux que guérir, prévenir, Ed. Lattès, 2008).

Les conseils exposés dans ce livre s’adressent à tous ceux qui sont préoccupés par leur santé ; Ils ne nécessitent pas d’avoir une formation médicale et sont compréhensibles par tous ; ils respectent un principe cher à la médecine : « D’abord ne pas nuire ».

AVERTISSEMENT

* Ce livre n’est pas une invitation à supprimer les médicaments concernant telle ou telle maladie. Cependant j’ai constaté que des médecins ont suspendu certains médicaments  devenus inutiles. Pour autant, malgré l’arrêt des médicaments, les maladies sont restées silencieuses.

* Attention, je déconseille formellement de prendre l’initiative d’arrêter toute thérapie anticancer : c’est insensé.

* Je précise ne faire aucun diagnostic.

En effet les personnes qui sollicitent mes conseils en diététique et en nutrithérapie ont des diagnostics établis depuis de nombreuses années. Pour exemple j’évoque au chapitre 9, p. 164 le cas d’une personne atteinte d’eczéma depuis 43 ans. Trois mois et demi plus tard cet eczéma est réduit à 99 %. A ce jour l’eczéma reste silencieux grâce au suivi sans faille de mes conseils.

Jean-Marie Magnien.